RE: Addressing disability inclusion through evaluations in agriculture and rural development | Eval Forward

Chers membres d’Eval Forward,

Je vous remercie pour les idées et les exemples très utiles qui ont été fournis jusqu’à présent en réponse à mon sujet de discussion concernant l’inclusion des personnes handicapées dans les évaluations relatives à l’agriculture et au développement rural.

Nous avons eu des contributions très intéressantes, comme la capture des réponses individuelles des personnes handicapées par le biais de l’enquête auprès des ménages menée pour l’évaluation humanitaire interinstituite de la réponse à la sécheresse en Éthiopie 2015-2018, telle que partagée par Amleset Haile. D’autres contributions, comme celle de Bassirou Diagne, ont soulevé le point que l’inclusion des personnes handicapées pourrait être prise en compte dans le cadre d’analyses relatives aux « groupes vulnérable ». Toutefois, soulignant la complexité du sujet, Mohammad Lardi a partagé l’exemple d’une étude multi-pays du PNUD sur les jeunes handicapés, qui a donné une analyse approfondie des vulnérabilités et des marginalités rencontrées par les personnes handicapées (par exemple, statut HIV, sexe, distance par rapport aux zones urbaines, pauvreté, âge, etc.) et a fait en sorte que chaque handicap est différent et qu’il est quelque peu artificiel de « pondérer tout le monde sous la même rubrique »

Comme Pamela White l’a fait remarquer, les gens pourraient avoir tendance à avoir une compréhension différente et subjective de ce que le « handicap » implique, et donc ils pourraient ne pas s’identifier si facilement comme ayant un handicap, pour une foule de raisons. De même, Lal Manavado a souligné que les personnes handicapées qui vivent dans les zones rurales sont peut-être encore plus susceptibles d’être exclues ou mal représentées, et qu’il faut donc des soins et des considérations supplémentaires pour s’assurer que les évaluations tiennent véritablement compte des points de vue des personnes handicapées vivant dans les zones rurales.

De ce point de vue, je suis curieux de savoir comment l’IAHE en Éthiopie, ou même d’autres évaluations ont identifié les personnes handicapées dans leur échantillonnage, et quelles sont les meilleures pratiques acceptées pour le faire.

Merci encore à ceux d’entre vous qui ont fourni des liens vers des conseils externes (par exemple, le Washington Group on Disability Statistics). S’il y a des conseils similaires qui pourraient être utiles, n’hésitez pas à partager avec le réseau Eval Forward.

Et s’il vous plaît continuer à partager tous les autres exemples intéressants de la façon dont les personnes handicapées ont été inclus dans vos évaluations.

J’ai hâte de poursuivre cette discussion.

Eoghan