RE: Addressing disability inclusion through evaluations in agriculture and rural development | Eval Forward

Bonjour à tous !

En termes généraux au sujet de l’évaluation, il ne semble pas y avoir d’accord à grande échelle sur ce que l’on entend évaluer exactement. En évitant l’utilisation de tout jargon, nous aurions pensé que ce qui compte vraiment, c’est d’évaluer si un projet/programme a réussi à améliorer la qualité de vie du groupe cible qu’il a été conçu pour en bénéficier. Ce n’est pas la même chose que la conclusion physique réussie de tout effort de développement. Par exemple, lors d’une discussion antérieure, l’achèvement réussi d’une voie motrice moderne et d’un pont pour rejoindre une île et la terre principale avaient été cités comme vains efforts.

Nous avons souligné qu’il est essentiel de répondre aux critères suivants si l’on veut qu’un projet profite à son groupe cible :

1. Il est durable par le groupe cible en ce qui concerne les ressources physiques dont il dispose.

2. La compétence requise pour l’exécuter et la maintenir relève des compétences disponibles du groupe cible.

3. Le projet apporte une contribution significative à l’amélioration de l’éducation dans son sens réel, la santé, la nutrition, la sécurité dans son sens le plus large, la procréation et ce que nous avons appelé les besoins non matériels. Ce dernier comprend le plaisir esthétique c’est-à-dire la littérature, la musique, etc., la participation à des jeux et des sports, etc. L’amélioration d’un ou de plusieurs d’entre eux augmentera la qualité de vie.

Après ces remarques préliminaires, il est clair que ce que nous devons découvrir, c’est comment et dans quelle mesure les activités agricoles peuvent contribuer à la qualité de vie des personnes handicapées. Nous espérons que les travaux sur ce domaine réussiront à déterminer ce qui est possible à réaliser en termes clairs et concis.

Meilleurs voeux!

Lal Manavado.