RE: Neutrality-impartiality-independence. At which stage of the evaluation is each concept important?   | Eval Forward

Chers collègues,

Cette discussion a déjà été très instructive et rassurante quant aux normes de la profession d'évaluateur.

Il serait formidable de déballer la question de l'"indépendance", de la contextualiser à partir d'un exemple qui n'a pas encore été mis en évidence.  Pour les membres qui ont été consultés par des bureaux d'évaluation indépendants, c'est-à-dire des agences des Nations Unies basées à Rome, de la BAD, de l'IEG, du GEF ou d'autres, et pour les membres qui travaillent dans ces bureaux d'évaluation, que signifie l'"indépendance" entre le bureau d'évaluation et un consultant/une équipe engagée pour mettre en œuvre une évaluation.

- Dans quelle mesure un consultant ou une équipe de consultants sont-ils indépendants d'un commissaire (c'est-à-dire du bureau d'évaluation) ?

- Y a-t-il un point à partir duquel les conseils techniques et l'assurance qualité du commissaire (c'est-à-dire du bureau d'évaluation) menacent l'indépendance du consultant/de l'équipe d'évaluation ?

- Qu'en est-il des preuves collectées (notes d'entretien) : le commissaire a-t-il le droit de les obtenir, pour pouvoir s'y référer une fois que le consultant/l'équipe d'évaluation n'est plus sous contrat ?  

En réfléchissant à cette question, n'oublions pas que les agences d'évaluation indépendantes ne rendent pas compte à la direction en raison de la conception des structures de gouvernance et d'assurance. 

J'attends avec impatience de recevoir des nouvelles de chacun d'entre vous, des deux côtés.

A la vôtre,

Svetlana Negroustoueva

Lead, Evaluation Function

CGIAR Advisory Services Shared Secretariat (CAS) Rome, Italy