La plupart des contributeurs suggèrent que les évaluateurs devraient être impliqués dans la communication sur les résultats, au moins en fournissant des recommandations sur les messages et les outils clés (ex. Norbert TCHOUAFFE TCHIADJE, et Karsten Weitzenegger). Les messages et les recommandations s'adressent principalement aux partenaires d'intervention et aux décideurs (ex. Aparajita Suman et Mohammed Al-Mussaabi). Les messages clés devraient être affinés par l'évaluateur (ex. Aparajita Suman, Karsten Weitzenegger et Jean Providence Nzabonimpa).
Emile Nounagnon HOUNGBO suggère que "les parties prenantes, y compris les gestionnaires de projet, font davantage confiance aux conclusions et déclarations techniques de l'évaluateur". Cela met en avant la qualité de l'évaluation et place l'évaluateur comme communicateur pour valider les résultats et les recommandations de l'intervention. Je pense que si nous étendons l'idée au grand public, les recommandations pour un projet de développement auront une meilleure chance d'être mises en œuvre.
La plupart des participants suggèrent d'allouer un budget spécifique à la communication. Ce budget devrait être géré par l'entité d'évaluation (ex. Ekaterina Sediakina Rivière). Cela permettra une certaine flexibilité dans l'établissement des priorités en fonction du type d'intervention, du public ciblé et du type de messages.
Jean Providence Nzabonimpa décrit les évaluateurs comme des agents de changement. En tant que tels, nous devons aller au-delà de la soumission de rapports et contribuer à la mise en œuvre réussie des recommandations.
En résumé, les évaluateurs devraient être impliqués dans les campagnes de communication pour les recommandations. Un budget spécifique doit être alloué et géré par les unités d'évaluation. Ces dernières devraient également prévoir la communication publique des résultats de l'évaluation et des recommandations dans les termes de référence.
La justification de ce qui précède est que toute intervention affecte les bénéficiaires prévus et non prévus. C'est pourquoi, à mon avis, la communication et l'organisation de campagnes de communication sont justifiées. Ainsi, outre les décideurs, il est nécessaire d'informer et d'éduquer les bénéficiaires (visés et non visés) sur les résultats de l'évaluation et les recommandations. Cela devrait garantir la mise en œuvre des recommandations à grande échelle.
Les messages clés devraient être élaborés par les évaluateurs qui devraient également suggérer les outils et les langues puisqu'ils connaissent et comprennent l'intervention, ses résultats et le public.
RE: Reporting evaluation results or communicating evaluation results?
Merci à tous pour vos excellentes contributions.
La plupart des contributeurs suggèrent que les évaluateurs devraient être impliqués dans la communication sur les résultats, au moins en fournissant des recommandations sur les messages et les outils clés (ex. Norbert TCHOUAFFE TCHIADJE, et Karsten Weitzenegger). Les messages et les recommandations s'adressent principalement aux partenaires d'intervention et aux décideurs (ex. Aparajita Suman et Mohammed Al-Mussaabi). Les messages clés devraient être affinés par l'évaluateur (ex. Aparajita Suman, Karsten Weitzenegger et Jean Providence Nzabonimpa).
Emile Nounagnon HOUNGBO suggère que "les parties prenantes, y compris les gestionnaires de projet, font davantage confiance aux conclusions et déclarations techniques de l'évaluateur". Cela met en avant la qualité de l'évaluation et place l'évaluateur comme communicateur pour valider les résultats et les recommandations de l'intervention. Je pense que si nous étendons l'idée au grand public, les recommandations pour un projet de développement auront une meilleure chance d'être mises en œuvre.
La plupart des participants suggèrent d'allouer un budget spécifique à la communication. Ce budget devrait être géré par l'entité d'évaluation (ex. Ekaterina Sediakina Rivière). Cela permettra une certaine flexibilité dans l'établissement des priorités en fonction du type d'intervention, du public ciblé et du type de messages.
Jean Providence Nzabonimpa décrit les évaluateurs comme des agents de changement. En tant que tels, nous devons aller au-delà de la soumission de rapports et contribuer à la mise en œuvre réussie des recommandations.
En résumé, les évaluateurs devraient être impliqués dans les campagnes de communication pour les recommandations. Un budget spécifique doit être alloué et géré par les unités d'évaluation. Ces dernières devraient également prévoir la communication publique des résultats de l'évaluation et des recommandations dans les termes de référence.
La justification de ce qui précède est que toute intervention affecte les bénéficiaires prévus et non prévus. C'est pourquoi, à mon avis, la communication et l'organisation de campagnes de communication sont justifiées. Ainsi, outre les décideurs, il est nécessaire d'informer et d'éduquer les bénéficiaires (visés et non visés) sur les résultats de l'évaluation et les recommandations. Cela devrait garantir la mise en œuvre des recommandations à grande échelle.
Les messages clés devraient être élaborés par les évaluateurs qui devraient également suggérer les outils et les langues puisqu'ils connaissent et comprennent l'intervention, ses résultats et le public.
Malika