Je suis un nouveau membre de cet important forum et de ce groupe de professionnels. Point de discussion intéressant : les outils visuels peuvent-ils aider les évaluateurs à mieux communiquer et à s'engager ?
Je ne doute pas que les visualisations soient des outils importants pour mieux communiquer et s'engager, en particulier avec les parties prenantes. Mes seules préoccupations sont les suivantes : quel type de visualisation et quelles parties prenantes ? Par exemple, dans mon pays, le Liberia, la grande majorité des parties prenantes et plus particulièrement des bénéficiaires sont analphabètes. Bien sûr, présenter des diagrammes/graphiques sophistiqués, des tableaux avec des pourcentages, n'a vraiment aucun sens et ne leur communiquera rien du tout. Une évaluation est censée promouvoir la redevabilité. Il nous incombe donc explicitement, en tant que praticiens de l'évaluation, de partager avec nos bénéficiaires (ceux qui sont analphabètes) les résultats de l'évaluation. Les graphiques, tableaux et autres aides visuelles peuvent ne rien communiquer de substantiel à ces personnes. Par exemple, 25 % et 40 % sur les graphiques et les tableaux n'ont aucune signification pour eux. Des innovations en matière d'extraction sont nécessaires pour tenir compte de ces personnes parmi les parties prenantes qui doivent participer au partage des résultats de l'évaluation. J'ai testé le partage des résultats de l'évaluation avec ce groupe de personnes sans utiliser de beaux graphiques et tableaux.
RE: Can visual tools help evaluators communicate and engage better?
Je suis un nouveau membre de cet important forum et de ce groupe de professionnels. Point de discussion intéressant : les outils visuels peuvent-ils aider les évaluateurs à mieux communiquer et à s'engager ?
Je ne doute pas que les visualisations soient des outils importants pour mieux communiquer et s'engager, en particulier avec les parties prenantes. Mes seules préoccupations sont les suivantes : quel type de visualisation et quelles parties prenantes ? Par exemple, dans mon pays, le Liberia, la grande majorité des parties prenantes et plus particulièrement des bénéficiaires sont analphabètes. Bien sûr, présenter des diagrammes/graphiques sophistiqués, des tableaux avec des pourcentages, n'a vraiment aucun sens et ne leur communiquera rien du tout. Une évaluation est censée promouvoir la redevabilité. Il nous incombe donc explicitement, en tant que praticiens de l'évaluation, de partager avec nos bénéficiaires (ceux qui sont analphabètes) les résultats de l'évaluation. Les graphiques, tableaux et autres aides visuelles peuvent ne rien communiquer de substantiel à ces personnes. Par exemple, 25 % et 40 % sur les graphiques et les tableaux n'ont aucune signification pour eux. Des innovations en matière d'extraction sont nécessaires pour tenir compte de ces personnes parmi les parties prenantes qui doivent participer au partage des résultats de l'évaluation. J'ai testé le partage des résultats de l'évaluation avec ce groupe de personnes sans utiliser de beaux graphiques et tableaux.